Le quartier d’Ikebukuro, ses quartiers chauds, ses mystérieux résidents, sa légende urbaine : un tableau suffisamment attrayant pour que le jeune Mikado Ryūgamine décide d’y emménager avant d’entrer au lycée. Un ami d’enfance, Masaomi Kida, l’accueillie à son arrivée et lui fait part de certaines rumeurs qui commencent à se répandre au sujet de cette étrange cité. Mikado n’a pas le temps de se familiariser avec les lieux que la fameuse légende prend forme sous leurs yeux : le motard sans tête fonce devant la foule ébahie sur une grosse cylindrée noire. Dans quelle jungle vient-il donc de débarquer?
Présentation
Créé par Narita Ryougo (Baccano), Durarara !! est l’histoire d’un quartier animé de Tokyo, connu pour ses « mafias », ses étrangers, ses bandes de jeune et ses magouilles : Ikebukuro. Déjà mis en lumière dans l’ excellent drama « Ikebukuro West Garden Park », le quartier présente dans Durarara!! l’image de son agitation. Alors que deux gangs s’affrontent pour le territoire, un nouveau acteur sans visage de cette « guerre » vient s’immiscer pour perturber la hiérarchie. Alors que ce dernier bouleverse les règles établies et crée un tumulte autour de ses acteurs, de ses tenants et de ses aboutissants, la fantaisie des hommes de légende du lieu entre dans l’histoire. Car Durarara!! présente des personnages au charisme et au caractère exceptionnel, le tercet de « héros » tout d’abord, lycéen sans histoire à la réalité masqué que l’on suit, presque à la manière d’un documentaire, pour découvrir Ikebukuro de l’intérieur : Mikado Ryūgamine (竜ヶ峰帝人), Masaomi Kida (紀田正臣) & Anri Sonohara (園原 杏里). Les deux premiers sont amis d’enfance, Mikado vient d’ailleurs à Ikebukuro pour quitter sa « campagne » qu’il partageait préalablement avec Masaomi. Masaomi est très vite devenu un citadin, il connaît les figures du quartier, sa vie, ses contraintes et ses attractions qu’il fait aussi vite partager à son ami d’enfance, Mikado. Anri, est l’élève studieuse, à forte poitrine cependant ( ou évidemment), qui finit par accompagner ce duo « ordinaire », peu loquace et amoureuse d’un « goujat » à ses débuts elle prendra petit à petit une place plus grande dans le trio.
Affable, au contraire du taciturne Mikado, Masaomi connaît les figures locales, à commencer par Shizuo Heiwajima (平和島 静雄), réputé être l’homme le plus fort d’Ikebukuro, et ancien membre des « dollars », ce personnage charismatique & respecté, bien qu’excessivement colérique montrera toute sa stature au fil des épisodes. Jusqu’à devenir le « plus aimé de la série pour les fans ». Son rival : Izaya Orihara (折原 臨也), certainement le personnage le plus complexe de la série, tour à tour manipulateur, informateur pour le gouvernement, ou lui même impliqué dans les crimes qui jalonnent les épisodes et qui n’en reste pas moins d’une force sur-humaine.
A ces personnages, viennent se greffer un duo particulier, composer du jeune et brillant docteur, Shinra Kishitani (岸谷 新羅) compagnon de l’énigme de la série, et de la fantastique au sens propre du terme, Celty Sturluson (セルティ ストゥルルソン), ou « la motarde noire », la « cavalière sans tête », véritable légende urbaine d’Ikebukuro.
C’est dans cette univers, très contemporain, où vient se mêler une part de fantastique, et parsemé de quelques instants de vie Tokyoïtes, distributions de rue et izakayas, que l’intrigue, ou plutôt les intrigues, se met en place. Tour à tour, héros puis ennemis, les personnages n’ont aucun lien avec le manichéisme propre à l’anime de base, d’inspiration souvent américaine et à de meilleurs fins commerciales : les gentils face aux méchants. Durarara!! est même tout le contraire. Trahisons, liaisons ambigües, vengeance égoiste, mais également action altruiste, le jeu d’échec dans lequel sont engagés les personnages, et où le brillant Izaya est potentiellement proche, ne donne les clefs de sa partie à aucun moment.
Si au delà de l’intrigue se mêle la réalité Tokyoite et l’invitation qui va avec, la visite d’ikebukuro, l’apparition de gyaru, femme moderne et sophistiqué à la recherche d’amant aimant un brin voyou, les contours de l’immigration, les relations ambiguës entre la pègre et la police, on obtient cette saveur particulière, rarement perceptible en animé, plus souvent en roman, d’un Tokyo underground dépassé par les propres contraintes de sa modernité. Dans un univers fantasmé et accrocheur pour ceux dont le genre « aventure contemporaine » avec son brin de fantastique – Ôh douce Celty, ses personnages plus pervers les uns des autres, et sa dose d’adrénaline et de suspense. Ikebukuro, quartier de Tokyo en dehors du conformisme habituel au Japon, à découvrir d’urgence.
@Brains Base / Narita Ryougo
Bon bein voici mon avis sur cet animé:
Mikado un jeune garçon venant de la campagne japonaise découvre Ikebukuro, et notamment ses habitants, par le biais de son ami d’enfance Masaomi Kida, habitants tous aussi uniques qu’étranges les uns les autres plus tard il rencontrerons une jeune filles réservée du nom de Anri Sonohara que notre duo d’amis suivras un peu partout. La façon dont Masaomi nous présente Ikebukuro donne vraiment envie dans savoir plus sur ces habitants( comme Shizuo Heiwajima et Izaya Orihara qui semble avoir un rôle très important ) et faction (tel les dollars et les écharper jaune) ou encore ces légende urbaine (tels la motarde noire ou l’éventreur). Tout ces point seront éclairci durant l’animé en prenant correctement le temps de nous faire découvrir chaque personnage à travers les épisodes ainsi que les liens qui unissent certains. Faisant apparaitre une histoire intéressante et complexe qui est même à certain moment glauque composé d’anciens évènements, de nombreux rebondissements et de manipulation. Montrant une facette inattendus des protagonistes surtout chez les personage principaux qui on finalement un rôle important dans la situation du quartier (je n’en dit pas plus plus) . Malheureusement il restera quelque mystère non éclairci à la fin qui peut nous faire penser à une suite qui devrait d’ailleurs sortir prochainement : Durarara!! – Dai 2 Shô !
Les dessin sont plutôt jolie à regarder et la ville de tokio et bien représenter.
Quand à la bande son, les deux opening et ending de l’animé sont très bon et corresponde très bien à son environne citadin sinon on ne retiendra pas celle qui apparaisse durant les épisode.
Je recommande donc durarara pour son univers citadin énigmatique et ces personnages qui le sont tout autant.