Né d’une série de light novel, débuté en novembre 2009, qui compte 9 tomes, en septembre 2011, avec pour scénariste Hajime Asano et pour illustrateur Seiji Kikuchi, un manga est débuté par Niito en Octobre 2010 sous le label Media Factory. La série animé, elle, composée de 13 épisodes fut diffusée sur la chaîne TBS à partir de Juin 2011 et jusqu’en septembre de la même année. Mayo Chiki! est l’abbréviation de “Mayoeru Shitsuji to Chikin na Ore to”(迷える執事とチキンな俺と) littéralement “le majordome dans le flou et moi le “Chicken””.
Subaru Konoe est un véritable “bishônen”, majordome au service de la famille Suzutsuki de père en fils et de sa descendante Kanade, particulièrement populaire auprès des sujets féminins du lycée. Kinjirou Sakamachi, lui, est un garçon qui souffre de Gynophobie, le moindre contact avec une femme le rend malade. Tout se passe pour le mieux jusqu’au jour où il découvre que Konoe est en réalité une fille… |
Konoe Subaru (近衛 スバル) est le majordome de Tsunade. Descendant direct d’une famille de majordome qui ont servi la famille Suzutsuki, ou plutôt descendante. Elle se fait passer pour un homme pour que la tradition familial se perpétue. Très sévère, en majordome, elle devient une fille douce, en dehors de sa fonction. Elle est la star du lycée, et son fan club, composé de fille, a de très nombreux membres. |
Kanade Suzutsuki (涼月 奏) en sa qualité de fille du principal et de descendante d’une famille très riche est une fille modèle,…, à l’extérieur. En réalité, elle se présente comme une fille sadique, n’hésitant pas à faire subir mille sévices à Kinjirou et à se servir de son pouvoir de domination sur Konoe. Elle prépare ses plans seule, comme pour mieux tuer son ennui. |
Kinjirō Sakamachi (坂町 近次郎) est un garçon simple de 17 ans. Atteint de Gynophobie, il devient malade au moindre contact avec une femme. Il est le souffre douleur des femmes de sa maison, catcheuse en fonction et en devenir. Il montre des qualités de compréhension des personnes qui le rende sympatique malgré son caractère taciturne. |
Mayo Chiki est une comédie/Ecchi qui présente des facettes intéressantes. Bien que le scénario soit loin d’être poussé dans ses retranchements, le cadre de base ne le servant qu’avec parcimonie, il met en lumière, de manière maladroite ou pas, au moins deux jougs de la société Japonaise :
Le côté Ecchi & “Nyan” de l’anime est, par contre, la clef de voûte des différents chapitres qui traversent le récit, et au-delà de ça, reste seulement le tri nome organisé autour de Konoe – Kanade et de Kinjirô qui amusent par la variété de leurs intéractions. Les autres protagonistes restent lier à des rôles de figuration, leur pouvoir d’action généralement restreint à son minimum syndical. On peut par exemple regretter qu’il n’y est pas de réel pendant masculin à Kinjirou. Reste un anime rafraîchissant, qui se laisse aisément regarder pour peu que l’on apprécie le Ecchi, l’eau de rose et les bons sentiments. Si ce n’est pas le cas, en revanche, passez vite votre chemin. |
Opening Eri Kitamura “Be Starters!”