La Bulle de Sheya #8 : les animés qui m’ont marqué cet automne 2021

Nous revoici pour notre rendez-vous de fin de saison ! Je vous propose encore une fois une liste totalement subjective des animés qui m’ont marqué cet automne 2021. Je dois avouer être restée un peu sur ma faim cette fois-ci. D’habitude j’ai du mal à savoir quels animés se démarquent des autres mais cette fois-ci le choix s’est fait sans aucune hésitation… Peut-être que je n’ai pas choisi de regarder les bons ? En tout cas, n’hésitez pas à me dire si vous connaissiez ceux de cette liste et ce que vous en avez pensé ! Et également à me donner les titres des animés qui vous ont plus.

Blue Period

Yatora Yaguchi, un lycéen de deuxième année, est un délinquant avec d’excellentes notes, mais n’est pas motivé pour trouver sa véritable vocation dans la vie. Il passe ses journées à travailler dur pour maintenir son niveau académique tout en traînant avec ses amis tout aussi peu ambitieux. Cependant, sous son air insouciant, Yatora n’apprécie aucune activité et souhaite pouvoir trouver quelque chose de plus épanouissant. Jusqu’à ce qu’il tombe sur le tableau d’une élève plus âgée dans la salle du club d’art.

Un peu plus tard, Yatora se retrouve à observer Shibuya sous un nouvel angle. Incapable d’exprimer ce qu’il ressent à propos de cette vue exceptionnellement époustouflante, il prend un pinceau, espérant que ses pensées seront transmises sur la toile. Après avoir reçu des éloges pour son travail, la joie qu’il ressent le décide à tenter d’entrer à l’Université des Arts de Tokyo, une école extrêmement compétitive qui n’accepte qu’un candidat sur 200.

Confronté à des pairs talentueux, à un manque de compréhension des beaux-arts et à des difficultés pour obtenir l’approbation de ses parents, Yatora est confronté à beaucoup d’adversité. Dans l’espoir d’obtenir l’une des cinq places prestigieuses de son programme de prédilection, il fera tout son possible pour s’améliorer grâce à une classe préparatoire.

Je dois l’avouer, je ne suis pas une grande fan d’art. Je ne comprends pas et j’évite le plus possible de me rendre dans des musées exposant uniquement des tableaux ou des sculptures. J’ai décidé de regarder Blue Period sans savoir de quoi cela parlait car l’image de présentation me donnait le sentiment que cela pourrait me plaire. Et mon instinct ne m’avait pas trompé ! Malgré le fait que je n’apprécie pas l’art à sa juste valeur, j’aime voir Yatora et les autres personnages se démener pour suivre leurs rêves, comprendre les compositions, techniques et sujets pour créer une œuvre. Encore une fois, un animé où il est possible d’apprendre des choses !

Un des bons points de cet animé est que toutes leurs œuvres sont montrées à l’écran. Il n’est pas rare que celles-ci soient juste décrites sans que le spectateur ne puisse la voir. Ce n’est pas le cas de Blue Period ! Et puis… l’opening ! La chanson « EVERBLUE » par le groupe Omoinotake colle à 100% avec cet animé.

Un bel animé, sans prétention, relaxant, que je recommande à tous pour passer un bon moment.

Kimetsu no Yaiba: Mugen Ressha-hen

Une mystérieuse série de disparitions dans un train a attiré l’attention des chasseurs de démons. Ils décident envoyer Rengoku Kyoujurou, Pilier du feu, pour exterminer le responsable, qui ne peut être qu’un démon. Envoyés pour aider le Pilier, Tanjirou Kamado, Inosuke Hashibira et Zenitsu Agatsuma montent dans le train, prêts à se battre. Mais leur cible monstrueuse a déjà un plan sournois en réserve pour eux et les deux cents passagers : en plongeant profondément dans leur conscience, le démon a l’intention d’effacer tout le monde dans une démonstration époustouflante du pouvoir détenu par les douze lunes démoniaques.

Cette saison est en fait le film Kimetsu no Yaiba Movie: Mugen Ressha-hen divisé en épisodes, avec un inédit montrant les prémisses de l’histoire et l’arrivée de Rengoku Kyoujurou à la gare du train de l’infini. Les évènements s’y déroulant sont essentiels pour comprendre la saison 2, je vous recommande donc plus que chaudement de la visionner (ou le film) avant de vous lancer dans la suite.

Comme toujours, les studios ufotable nous offrent une animation à nous couper le souffle ! Tout est fluide et d’une beauté sans égale. L’histoire, quant à elle, est toujours aussi prenante, même lors d’un deuxième visionnage. Et la fin fait toujours aussi mal au cœur… Une très belle introduction à la saison 2 sortant en ce moment même, Kimetsu no Yaiba: Yuukaku-hen, qui promet d’être tout aussi incroyable que cette dernière ! Un véritable coup de cœur !

Les animés qui m’ont marqué cet automne 2021 – suite

Platinium End

Depuis qu’il a perdu sa famille dans une explosion, Mirai Kakehashi a vécu une vie de douleur et de désespoir. Chaque jour, il subit des abus de la part des proches qui l’ont recueilli. Alors que son angoisse ronge progressivement sa volonté de vivre, il est finalement poussé au bord du gouffre. Prêt à tout jeter, il se dresse au bord d’un précipice et saute le pas. Cependant, au lieu de s’écraser au sol, il est sauvé par un ange tout droit venu du paradis. Nommé Nasse, l’ange lui offre deux capacités inestimables et le convainc de continuer à vivre.

Armée des dons de Nasse, Mirai est jetée dans une confrontation avec 12 autres individus, dont l’un sera choisi pour devenir le prochain Dieu. Contrairement au moment où il voulait mettre fin à ses jours, Mirai est maintenant prête à faire tout ce qu’il faut pour protéger sa sombre chance de bonheur, de peur qu’elle ne soit arrachée à son emprise pour toujours.

Malgré le fait que l’animé est, à mon sens, très lent à commencer, il devient tout de même intéressant et prenant une fois le contexte placé ! L’animation est très nette et fluide, collant parfaitement au manga de base. De l’action, des stratagèmes, on sent bien ici la patte des auteurs du très célèbre Death Note. En tout cas, j’ai très hâte de connaitre la suite !

L’animé continue pour 12 autres épisodes à la prochaine saison, alors n’hésitez pas à y jeter un œil !

Shiroi Suna no Aquatope

Après avoir laissé sa carrière d’idole derrière elle, Fuuka Miyazawa se retrouve sur un coup de tête dans un vol pour Okinawa. Le cœur lourd et nul part où aller, elle erre sans but dans la région jusqu’à ce qu’elle tombe sur Gama Gama Aquarium, un aquarium vieillissant sur le point de fermer à la fin de l’été. La petite-fille du directeur, Kukuru Misakino, ne supporte pas l’idée de la fermeture de l’aquarium et est déterminée à gagner suffisamment d’argent d’ici la fin de la saison pour garder les portes ouvertes.

Voyant la magie unique de l’aquarium, Fuuka supplie Kukuru pour un travail. Cependant, elle découvre bientôt que son manque d’expérience la rend plus un obstacle qu’autre chose. Dans le même temps, Kukuru se rend compte que son objectif ambitieux pourrait être plus que ce qu’elle peut gérer. Avec la pression croissante de tout autour d’eux, Kukuru et Fuuka pourront-elles sauver cet endroit qui leur tient à cœur ?

Je vous en avais déjà parlé dans l’article des animés de l’été, Shiroi Suna no Aquatope est un animé slice of life, calme et relaxant qui saura vous toucher. Les personnages sont attachants et se donnent à fond pour réussir à sauver l’aquarium dans la première partie. Les graphismes sont très doux et collent parfaitement au style de cet animé. J’ai tout autant adoré la deuxième partie, voire même plus. Le développement des personnages et de leurs sentiments, face à un nouvel avenir et environnement,  est particulièrement bien géré et il est facile de s’identifier à leurs ressentis et leurs appréhensions. Mon animé coup de cœur de la saison que je recommande sans aucune hésitation !

 

Sondage

 

 

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.