Alexander Astor désenchante Zelda dans de superbes fresques digitales.

Nous avions déjà parlé d’Alexander Astor et de ses couvertures vintages portant sur l’arrivée des androïds C17 et C18 dans la série Dragon Ball et il nous avait déjà bluffé. Sans doute, cela n’était qu’un début car l’artiste a encore frappé en plein coeur de l’Otaku culture en s’en prenant à un autre mythe : Zelda. Peinture réaliste, érotisme, une nouvelle vision de l’espiègle aventurier dans sa course effréné à la libération de sa princesse, et à la destruction du démon régnant sur Hyrule, Ganondorf. Nous retrouvons des scènes du jeu vidéo, un réalisme violent, et des souvenirs qui s’exhalent. Le petite monde de bulle est mort, loin de l’idée de Nintendo d’en arriver aussi loin. Place à la réalité sous les traits de l’auteur : 

La pièce chef d’oeuvre de la série, l’hyper sexualisation de Zelda, et l’humanité transpirant d’un amoureux Ganondorf. Violent pour les fans.

Les aventures de Link

Complot

Lien vers l’artiste : Behance

 

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