Dans “Tribute to Otomo“, Glénat avait demandé à 80 artistes de créer une illustration inspirée de l’univers de Katsuhiro Otomo. Le livre fut publié à l’occasion du 42e festival d’Angoulême, nous nous excusons de vous le faire découvrir que maintenant alors que le 45e festival a eu lieu en janvier 2018 !
Auteur de manga célèbres dans le monde entier et source d’inspiration majeure, Otomo fut un des précurseurs, sinon le détonateur, du manga en France grâce à son titre phare : Akira.
Dans ce livre en 170 pages, ce sont 79 illustrations différentes que nous découvrons. Particulièrement convaincu de l’intérêt de l’œuvre grâce à la qualité du papier, de type kraft, et la présence des illustrations sur les seules pages de droite qui pourront si vous le souhaitez et en vous appliquant dans la découpe devenir autant de poster à collectionner et à afficher. Un livre par conséquent plus que conseillez.
19 des illustrations sont l’œuvre de mangaka et artistes japonais dont Hiroyuki Asada, Masakazu Katsura, Jiro Matsumoto et, parmi d’autres, Masashi Kishimoto .
Pour vous donner un aperçu nous vous laissons apercevoir quelques unes des oeuvres qui composent l’ouvrage :
Dominique Bertail
Parce que l’œuvre d’Akira est totalement réinventé dans une illustration paper art très France des années 90, et encore tendance dans l’illustration de mode.
Merwan Chabane
Parce qu’il condense l’œuvre première d’Otomo dans une seule image et qu’il permet aux souvenirs de retracer la totalité de l’œuvre en une seconde d’imagination.
Manuel Fior
Parce qu’il peint et réinvente les courses poursuites dans un Paris moderne et éclairé.
Olivier Ledroit
L’illustrateur des chroniques de la Lune Noire nous présente un nouveau personnage étrangement lié à l’univers d’Akira.
Thimothée Montaigne
Pour l’extrême qualité de la représentation de Kaneda .
Taiyo matsumoto
Le concept art décoratif de Taiyo Matsumoto tranche avec la science fiction des œuvre préalable, la simplicité comme intégrer dans les concepts de wabisabi et ce soleil rouge – bien que n’étant pas un soleil – nous ramène irrémédiablement vers l’image graphique du Japon.
Crédits Glénat / auteurs respectifs.